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Qui suis-je ?

Je m’appelle Magali Bourgogne.
Je vis actuellement en Haute-Saône (70), ce département m’a vu naître, grandir, partir et revenir.

Au commencement était une graine qui s’est implantée dans un petit village loin de tout mais près du plus important : la famille et la nature. Mes racines se sont développées dans un clan familial dont le point central, au milieu de nulle part, avait des airs de havre de paix : une ferme isolée, entourée de prairies, d’une forêt, de ruisseaux et de sources.

Nourrie de tout cela j’ai grandi, je me suis formée à la vie. J’ai survécu à toutes sortes d’intempéries.
Je suis sortie de mon nid pour expérimenter d’autres contrées, sans jamais aller vraiment très loin.
Mais quel plaisir de découvrir et de vivre dans de magnifiques endroits comme peut l’être le Sud du Jura, avec ses reliefs, ses forêts, ses lacs et ses cascades.
C’est d’ailleurs à cet endroit que je me suis spécialisée dans la culture et l’utilisation des plantes à parfums, aromatiques et médicinales.

Quelques années avant cela, je me cherchais, je tâtonnais. Oscillant entre la psychologie, le domaine vétérinaire, ou un peu les deux en me formant comme comportementaliste canin.

C’est à la naissance de mon fruit le plus précieux, ma fille née en 2012, que me sont arrivées beaucoup de prises de conscience. Les unes liées aux autres. Quand on commence à vouloir enlever les toxiques autour de soi, c’est tout un écosystème qui est concerné. Ça passe de l’alimentation aux médicaments, aux méthodes de soin, aux cosmétiques, à l’air, à l’entourage, au lieu de vie,…. C’est un retour à l’origine, à la simplicité, à l’harmonie avec la Vie.

Après un premier grand ménage dans mes produits, habitudes de vie, amélioré mon alimentation, je me suis amusée à fabriquer des macérats huileux (des fleurs que l’on fait macérer quelques semaines dans de l’huile pour en extraire leurs vertus), des produits de soin pour mon bébé, etc.

Ma fille ayant grandi j’ai décidé de me tourner vers un métier qui faisait du sens pour moi. J’ai donc voulu expérimenter le maraîchage. Mais avant de me lancer dans ce parcours, je me suis entraînée dans un joli coin de jardin familial récemment acquis.
Ce fut laborieux et le résultat peu concluant… Ce que j’avais semé, planté, peinait à pousser ou se faisait dévorer ! Visiblement les limaces et mulots ont appréciés. Et ces herbes que l’on s’évertue à enlever pour ne pas gêner nos cultures, qui reviennent sans cesse ! Elles, elles n’ont pas besoin de quoi que ce soit, tu fais de la place elles arrivent !
Bon alors je me suis questionnée… qui sont ces plantes qui me narguent ?
Et là, quelle surprise !! Elles ont toutes un petit secret ! Voire même plusieurs.. Elles sont comestibles, médicinales, aromatiques, bénéfiques et indispensables pour le sol, la faune et la flore environnante. Ce fut pour moi l’appel des simples.
Sans hésitation je suis partie dans le Jura pour me former, apprendre, découvrir les plantes et leurs utilisations.
Lors de cette spécialisation j’ai rencontré les plantes, des lieux mais aussi des personnes vraiment inspirantes.

L’enfant sauvage qui était endormie en moi s’est réveillée. La culture des plantes médicinales et aromatiques c’est super, la traction animale, chouchouter les plantes, récolter à la main,… Mais ce qui a vibré encore plus fort ce sont les plantes sauvages, celles qui sont là, à nos pieds, sous nos yeux, dans nos forêts, celles que l’on ne voit plus alors qu’elles ont tant à apporter. Là, j’ai une petite pensée pour ma mamie Éliane qui préparait des salades de pissenlits et m’a apprit à soigner mes piqûres d’orties avec du plantain.

C’est à ce moment-là que les élixirs floraux et les fleurs de Bach sont venus à moi. Intriguée par leur côté un peu mystérieux, c’était emprunte d’excitation, de curiosité, et un peu de peur je l’avoue, que j’ai essayé. Certains effets se sont présentés rapidement, d’autres m’ont été rapportés par mon entourage. Cela m’a stupéfait ! Tout en douceur quelque chose en moi c’est apaisé.

Les élixirs floraux sont une évidence dans mon parcours. Ils regroupent ce qui me passionne : la nature dans sa globalité, les plantes, la psychologie, les émotions, l’univers énergétique et vibratoire.

C’est là aussi que j’ai eu la chance d’être initiée à la géobiologie. De retour chez moi il ne m’a pas fallu longtemps pour fabriquer à ma fille et moi-même une paire de baguettes parallèles chacune et partir explorer notre réserve naturelle préférée, à côté de la maison, à la recherche des réseaux telluriques pour moi, des fées et écureuils pour ma fille.

Mes branches, petit à petit, se multiplient et se développent.
Les élixirs floraux m’ont davantage ouvert les portes de la spiritualité et de l’énergétique. Qui m’appelaient déjà fortement à l’adolescence.

En 2021 j’ai eu la joie de me former en Géobiologie et Clarification d’espace. Je ne connaissais pas la clarification d’espace. En fait je ne connaissais pas le terme, chez moi on parlait plutôt de rebouteux, exorcistes, voire pas de qualificatifs, juste des personnes un peu spéciales qui libèrent les charges invisibles et les entités des maisons.
Aujourd’hui je parle d’énergétique des lieux pour regrouper le tout.
Et c’est une activité passionnante qui me plaît de pratiquer pour moi et pour aider tous ceux qui le souhaitent à vivre en harmonie avec leur lieu de vie.

D’autres branches liées à celles-ci sont en cours de développement. Je vous les présenterai lorsqu’elles seront assez solides pour que vous puissiez y grimper.

Aujourd’hui si vous le souhaitez, je peux :

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